Un gain de moralité mais un gros chèque a faire sortir. L’équation est aussi simple que cela. Car en attendant la séance en appel du 4 Juillet, l’ATI qui s’est vu rejeté son appel à la suspension d’un jugement qui la somme de censurer les sites internet, est semble-t-il bien partie pour perdre cette affaire. Ses équipes techniques ont entamé un lourd processus de filtrage.
Cela demande une mise à jour des équipements de censure. Et cela demandera aussi un investissement non programmé dans le budget de l’Agence. Le recours au seul logiciel connu sous le nom de Smartfilter nécessitera une grosse sortie en devise. Est-ce le bon moment, alors que la Tunisie mobilise tous ses moyens pour récupérer ses avoirs éparpillés à m’étranger ?
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