Ces derniers sont Néji Zaïri, chef de la rédaction de la radio Mosaïque Fm et Noureddine Boutar, le directeur général de la même station, qui couvre tout le nord du pays. Le procureur de la république les accuse de nuire à l’ordre public, en diffusant de fausses nouvelles sur les ondes de la radio. Les deux principaux intéressés ont été entendus ce matin par le juge d’instruction du tribunal de première instance de Tunis.
Dans cette islamisation progressive, les limites des médias nationaux sont ainsi de plus en plus apparentes. Après le scandale des photos du footballeur Sami Khedira, les autorités ne relâchent pas la pression exercée sur la presse, la radio et la télévision tunisienne, au détriment de la liberté d’expression.
Source : Tunisie focus
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