«La garde nationale a voulu tendre aujourd’hui à l’aube, une embuscade à deux terroristes à moto à Sidi Ali Ben Aoun», selon le porte-parole du ministère Mohamed Ali Aroui. Les deux hommes étaient suspectés de vouloir mener une opération terroriste.
«Dans un premier temps, deux agents ont été tués», a expliqué M. Aroui. Les suspects ont ensuite pris la fuite et c’est à ce moment-là qu’un troisième agent a été tué alors qu’il se rendait à son travail.
Une unité d’élite de la gendarmerie a ensuite pris en chasse les jihadistes présumés. «L’un des deux terroristes a été tué, le deuxième a été blessé et arrêté. Il est dans un état grave», a conclu le porte-parole. La région est le théâtre d’affrontements fréquents entre les forces de sécurité et des noyaux jihadistes qui ont établi leurs bases à proximité, dans le centre du pays.
Le 18 février dernier, quatre gardes nationaux ont été tués dans le gouvernorat de Kasserine.
Le 17 juillet 2014, ce sont quatorze militaires qui avaient péri lors d’une attaque aux lance-roquettes et aux fusils-mitrailleurs, au mont Chaambi.
Depuis 2011 et la révolution tunisienne, une soixantaine de militaires et de policiers a été tuée dans des affrontements ou par des engins explosifs, en particulier dans les régions proches de la frontière algérienne.
«Dans un premier temps, deux agents ont été tués», a expliqué M. Aroui. Les suspects ont ensuite pris la fuite et c’est à ce moment-là qu’un troisième agent a été tué alors qu’il se rendait à son travail.
Une unité d’élite de la gendarmerie a ensuite pris en chasse les jihadistes présumés. «L’un des deux terroristes a été tué, le deuxième a été blessé et arrêté. Il est dans un état grave», a conclu le porte-parole. La région est le théâtre d’affrontements fréquents entre les forces de sécurité et des noyaux jihadistes qui ont établi leurs bases à proximité, dans le centre du pays.
Le 18 février dernier, quatre gardes nationaux ont été tués dans le gouvernorat de Kasserine.
Le 17 juillet 2014, ce sont quatorze militaires qui avaient péri lors d’une attaque aux lance-roquettes et aux fusils-mitrailleurs, au mont Chaambi.
Depuis 2011 et la révolution tunisienne, une soixantaine de militaires et de policiers a été tuée dans des affrontements ou par des engins explosifs, en particulier dans les régions proches de la frontière algérienne.
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