
Un spectre hante les tunisiens ; la mort de la révolution de 2011, on l’impute à la stagnation économique, aux difficultés financières et sociales, à la montée du djihadisme… Mais l’histoire montre que les facteurs politiques et culturels, plus que les chiffres de l’économie, ou les difficultés financières et sociales jouent un rôle déterminant dans le destin des hommes. La révolution tunisienne devrait normalement apporter la liberté, l’égalité et mettre en place un nouveau pacte social entre les groupes sociaux. Il n’en a été rien. Les tunisiens se trouvent en présence d’une société bloquée : fragilité de l’économie, dégradation des classes ...
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