
«Aujourd’hui, si vous voulez peser sur la scène internationale, il est plus important d’être reconnu au Comité international olympique qu’à l’Organisation des Nations unies.» Cette formule, dont la paternité revient à l’ancien émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani, pourrait tout aussi bien s’appliquer à la Fifa. Le football et l’olympisme sont aujourd’hui devenus d’incomparables moyens de rayonnement. Et les autorités qui les contrôlent, le CIO, et, plus encore, la Fifa, des puissances à part entière. Les Qataris l’ont bien compris. Ils n’ont pas hésité à investir des milliards dans le sport, au point de remporter l’organisation de la ...
Vous aimez cette article ? Merci de le partager !!!
Aucun Commentaire sur " Football et mondialisation: Le business florissant de la FIFA "